URGENT c'est plutôt simple : il faut juste reformuler le texte suivent: 10h) Un donneur potentiel décède Malgré la mobilisation intense des équipes médicales, l
SVT
allanfournier3g
Question
URGENT c'est plutôt simple : il faut juste reformuler le texte suivent:
10h) Un donneur potentiel décède
Malgré la mobilisation intense des équipes médicales, la personne décède.
11h) Le corps du défunt est sous surveillance
Les circonstances du décès rendent le prélèvement d’organes possible. Tant que la décision de prélever n’est pas prise, les organes sont maintenus artificiellement en état de fonctionner par l’équipe de réanimation, sous surveillance constante.
15h) La famille témoigne : le défunt n’était pas opposé au don de ses organes
L’équipe de coordination du prélèvement consulte le registre national des refus. Le nom du défunt n’y figure pas. Pour autant, il est possible que la personne ait manifesté de son vivant son opposition au don d’une autre manière. Conformément à la loi, l’équipe médicale consulte les proches.
La famille du défunt est reçue par le médecin réanimateur et l’infirmier(e) de coordination. Ils vont demander à la famille si le défunt était opposé au don de ses organes ou si, au contraire, il avait confirmé son accord par ses propos ou par son attitude.
C’est un moment crucial de l’activité de prélèvement. Du témoignage des proches, qui a valeur légale, dépend toute la chaîne du prélèvement à la greffe. L’équipe médicale dispose de peu de temps pour interroger les proches, car le maintient en état des organes n’est
possible que quelques heures ; dans un climat chargé d’émotion, elle doit cependant agir, avec la plus grande délicatesse.
Les proches ne connaissent pas clairement la volonté du défunt mais peuvent témoigner d’idées, de traits de caractères, d’actions... en faveur du don. Ils acceptent donc le prélèvement. Dans le cas contraire, les équipes médicales auraient immédiatement cessé de maintenir le corps du défunt en état d’être prélevé.
10h) Un donneur potentiel décède
Malgré la mobilisation intense des équipes médicales, la personne décède.
11h) Le corps du défunt est sous surveillance
Les circonstances du décès rendent le prélèvement d’organes possible. Tant que la décision de prélever n’est pas prise, les organes sont maintenus artificiellement en état de fonctionner par l’équipe de réanimation, sous surveillance constante.
15h) La famille témoigne : le défunt n’était pas opposé au don de ses organes
L’équipe de coordination du prélèvement consulte le registre national des refus. Le nom du défunt n’y figure pas. Pour autant, il est possible que la personne ait manifesté de son vivant son opposition au don d’une autre manière. Conformément à la loi, l’équipe médicale consulte les proches.
La famille du défunt est reçue par le médecin réanimateur et l’infirmier(e) de coordination. Ils vont demander à la famille si le défunt était opposé au don de ses organes ou si, au contraire, il avait confirmé son accord par ses propos ou par son attitude.
C’est un moment crucial de l’activité de prélèvement. Du témoignage des proches, qui a valeur légale, dépend toute la chaîne du prélèvement à la greffe. L’équipe médicale dispose de peu de temps pour interroger les proches, car le maintient en état des organes n’est
possible que quelques heures ; dans un climat chargé d’émotion, elle doit cependant agir, avec la plus grande délicatesse.
Les proches ne connaissent pas clairement la volonté du défunt mais peuvent témoigner d’idées, de traits de caractères, d’actions... en faveur du don. Ils acceptent donc le prélèvement. Dans le cas contraire, les équipes médicales auraient immédiatement cessé de maintenir le corps du défunt en état d’être prélevé.
1 Réponse
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1. Réponse maudmarine
Bonjour,
10h) Décès d'un donneur potentiel.
Il peut arriver que la personne décède malgré la mobilisation des équipes médicales sur les lieux
11h) Le corps du défunt est sous surveillance
On peut cependant prélever les organes de la personne décédée. Il faut pour cela que la famille donne son consentement, à moins que la personne décédée possède une carte de donneur ou ait donné ses aveux à un proche. Les organes sont maintenus en vie artificiellement par l'équipe de réanimation et en constante surveillance.
15h) La famille témoigne : le défunt n’était pas opposé au don de ses organes
Le registre national de refus est consulté par l'équipe de coordination, le nom du décédé peut ne pas y être mais pourtant il peut avoir dit de son vivant qu'il ne voulait pas donner ses organes.
Conformément à la loi, l’équipe médicale se renseigne auprès des proches, qui sont reçus par le médecin réanimateur et l'infirmière coordinatrice. Ceux-ci confirmeront ou infirmeront la décision du défunt.
C'est un moment important, la famille est malheureuse et perdue, l'équipe doit être convaincante mais aussi humaine. Le temps est limité, les organes ont un délai pour être transplantés.
Si les proches ne savent que répondre, ils peuvent se référer au genre de la personne qu'elle était, ses attitudes, son caractères, son altruisme, et de ce fait accepter le prélèvement.
Si par contre ils refusent, les équipes médicales ne maintiennent plus en vie le corps du défunt et le rendent à la famille.