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Question

Je dois repondre aux question 1 jusqu'à la question 7
je suis bloque a la question 5°c je n'ai pas avancer plus j'ai cherche ce que veut dir le mot modalisateur mais je ne comprend pas leur definition
Question :
5°c: Relever les deux modalisateur exprimant l'hésiation fantastique
6°: En quoi le dernier paragraphe est-il caractéristique d'un recit fantastique ? Expliqer en vous appuyant sur les procédés d'écriture
7°: En russe HOC prononcé ''nos'' ''le nez'' est l'anagramme de COH prononcé ''son'' '' le sommeil'' ou ''le reve'' en quoi ce jeu de mots entraine-t-il le lecteur sur la piste du fantastique? (je n'ai vraiment rien compris)
Il se passa le 25 mars, à Saint-Pétersbourg, un fait extraordinairement bizarre.
Sur la perspective Vosnecenski demeure le coiffeur Ivan Iakovlevitch, dont le nom de famille a disparu de l’enseigne, où l’on ne distingue plus rien, sauf la peinture d’un monsieur à la joue couverte de savon, et l’inscription : « On fait aussi les saignées ». Le coiffeur Ivan Iakovlevitch se réveilla donc d’assez bonne heure, et sentit une odeur de pain chaud. S’étant soulevé légèrement sur son lit, il vit que sa femme, dame d’aspect respectable et adorant le café, retirait du poêle quelques pains cuits.
— Aujourd’hui, Prascovia Ossipovna, je ne prendrai pas de café, dit Ivan Iakovlevitch, je préfère à la place manger un pain avec un oignon.
Pour dire la vérité, Ivan aurait bien voulu goûter de l’un et de l’autre, mais il savait la chose complètement impossible, car Prascovia Ossipovna n’admettait pas de tels caprices.
— Mange du pain, imbécile, pensa la femme en elle-même ; il me restera davantage de café... Et elle jeta un pain sur la table.
Ivan Iakovlevitch passa, par convenance, un frac sur sa chemise, et, s’étant installé devant la table, prit du sel, prépara deux têtes d’oignons, saisit un couteau, et, avec une mine significative, se mit à couper le pain. Il le coupa en deux moitiés, regarda le milieu, et à son étonnement, distingua quelque chose de blanchâtre. Ivan Iakovlevitch gratta soigneusement avec son couteau, et tâta du doigt. « C’est ferme ! se dit-il en lui-même ; qu’est-ce que c’est que cela ? » Il fourra ses doigts et retira — un nez !
Ivan Iakovlevitch laissa tomber ses bras ; puis il commença à se frotter les yeux et retâta du doigt ; c’était bien un nez, un véritable nez, et encore, lui sembla-t-il, un nez ayant une tournure connue.
La frayeur se peignit sur le visage d’Ivan ; mais cette frayeur n’était rien auprès de l’indignation qui saisit son épouse.
— Où as-tu coupé ce nez, animal ? se mit-elle à crier avec colère. Fripon ! ivrogne ! Je te dénoncerai moi-même à la police ! Quel brigand ! Voilà déjà trois messieurs qui m’ont dit que lorsque tu rases, tu tires tellement sur les nez que tu les arraches presque !
Mais Ivan Iakovlevitch n’était plus ni mort ni vivant, car il venait de reconnaître que ce nez n’était autre que celui de l’assesseur de collège Kovalev, qu’il rasait le mercredi et le dimanche.
— Tais-toi, Prascovia Ossipovna, dit-il, je vais l’envelopper dans un linge et le mettre dans un coin, pour qu’il y reste quelques jours ; ensuite, je l’emporterai.
— Et je n’y consens pas ! Que je permette de placer un nez coupé dans la chambre ! Biscuit roussi ! Il ne sait que repasser son rasoir, et n’est pas capable de terminer sa tâche vite et entièrement ! Coureur, chenapan ! Crois-tu que je vais pour toi m’attirer des histoires avec la police ? Ah ! tu es un propre-à-rien, une bûche stupide ! Regardez-le ! Voyez ! Emporte cela où tu veux ! Que je n’en entende plus jamais parler.
Ivan Iakovlevitch était complètement abasourdi. Il réfléchissait, réfléchissait, — et ne savait à quoi réfléchir.
— Le diable sait comment cela s’est fait ! dit-il enfin, portant la main derrière l’oreille. Suis-je rentré ivre hier, ou non ? Cela, je ne puis le dire avec certitude. Mais, selon toutes les apparences, voilà une affaire qui me semble extraordinaire, car le pain, — c’est quelque chose qui se cuit, tandis qu’un nez, jamais de la vie ! Je n’y comprends rien !slt

1 Réponse

  • Pour la 5c) "lui sembla-t-il" et "ne savait à quoi" donc verbes sembler et croire

    6) Le dernier paragraphe est caractéristique du récit fantastique car il ne donne pas de solutions, il laisse le lecteur dans le doute.

    7) ?????????????????alors là c'est aussi un grand mystère pour moi, sauf à dire qu'à partir du mot nez on arrive aux mots rêve, sommeil qui font partis du fantastique, on ne sait pas si le personnage rêve ou si c'est la réalité... mais là je n'ai aucune certitude

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