Bonjour ! je dois raconter une nouvelle a chuté très impressionnante mais dans cette nouvelle à chut je dois choisir un personnage pouvez-vous m'aider s'il vous

     Katherina était confortablement installée dans son lit en compagnie du seul et unique homme de sa vie, Paul.
Malgré ce fait, elle sentait un objet rugueux entre ses longs doigts fins et fuselés.
Elle n'arrivait pas à s'endormir, alors que lui était dans un sommeil aussi profond que rien ne pourrait le réveiller, sauf peut être le mixeur du rez-de-chaussée. "Tant meiux" se dit-elle. Elle voulait lui faire une surprise pendant son sommeil, mais elle avait peur, peur de lui faire mal, il était vraiment trop sensible avec sa délicate odeur et ses yeux presque toujours fermés.
Malgré tout elle en avait envie, et surtout besoin.
Trop de femmes le regardait, le tripotait, le complimentait, l'enbrassait, elle en avait assez, elle bouillait de rage. Cet homme c'était le sien.

     Alors qu'elle se perdit dans le contemplation de son torse se levant et s'abaissant au rythme de sa respiration, elle retenait la sienne de peur de faire un courant d'air et de le faire frissoner. Pourtant sa chair tendre et encore humide après le bain qu'il venait de prendre ne sentirait rien, peut être juste une légère pression au niveau du coup mais rien d'autre !
Cette fois elle était prête, elle allait le faire.
Elle s'asseya dans le lit à ses côtés, elle lui enleva le haut de son pyjama et d'un geste vif enroula la corde autour de son cou et tira avec vivacité d'un coup sec.
Le coup porté était tellement brusque que la tête roula sur le côté, du sang jaillissait de son coup comme un jeyser.

C'est à cet instant que le femme de chambre arriva. Le plateau qu'elle tenait entre ses mains se fracassa au sol, la compote s'éparpilla sur les carreaux.

     Ce qu'elle voyait était digne d'un film d'épouvante :
Le petit corps sans tête de Paul était inerte dans les bras de sa mère, un rouge écarlate macculé les draps.
Mais lorsqu'elle vit la tête du garçon, les yeux grands ouverts, du sang ruisselant de sa bouche, à côté de la tueuse, elle s'évanouit.
Katherina ricana en tenant le petit corps sans vie du nourisson dans ses bras.