comment preserver les emplois en France
Éducation civique
GateauFlamby
Question
comment preserver les emplois en France
2 Réponse
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1. Réponse ellimacC
-Préserver les emplois en France en arretant de prendre des robots/machines ( ex : dans des usines ) et prendre plus de mains d'oeuvre.
- Préserver les emplois en diminuant l'exportation venant des autres pays ( comme la Chine, l'Inde ) en prenant des produits français à la place que des produits étrangers. -
2. Réponse sacha2
derniers chiffres du chômage, publiés la semaine dernière, sont venus rappeler, s'il le fallait, l'urgence de la situation. La France compte désormais 4,367 millions de chômeurs, en prenant en compte ceux qui ont exercé une activité réduite. Un chiffre jamais atteint depuis 1996. Piètre consolation : avec un taux de chômage de 10,2 % selon Eurostat, la France n'est pourtant pas dans la pire situation des pays de la zone euro (voir infographie).
Emplois aidés et contrats de génération
Que faire ? Le gouvernement a déjà annoncé la création, au 1er juillet, de 80 000 emplois aidés, d'une durée de neuf mois, qui viendront s'ajouter aux 340 000 programmés pour 2012 par le précédent gouvernement. Mais il débattra, avec les partenaires, de ses contrats de génération : 500 000 en cinq ans étaient prévus dans le programme de François Hollande.
Le but
permettre l'embauche d'un jeune en CDI et le maintien en emploi d'un senior. Deux catégories particulièrement vulnérables face au chômage. 650 600 jeunes de moins de 25 ans étaient inscrits sur les listes des demandeurs d'emplois en mai, et près d'un million de personnes de plus de 50 ans (en comptant les personnes ayant exercé une activité réduite). La patronne du Medef, Laurence Parisot, trouve ce contrat « tout à fait intéressant ».
Sur la table également, les 150 000 contrats d'avenir, sorte d'emplois jeunes nouvelle formule, qui, comme les contrats de générations, verront le jour en 2013. On parlera aussi de licenciements, y compris boursiers.
Au delà, CFDT et Medef veulent faire de cette rencontre le point de départ d'une négociation plus vaste sur l'emploi, où l'on se pencherait, notamment, sur la flexibilité au travail. Les négociations sur l'« accord pour la sauvegarde de la compétitivité et les emplois » sont en suspens depuis la présidentielle. Cet accord doit permettre aux entreprises qui traversent des périodes difficiles de moduler temps de travail et salaire pour éviter le chômage partiel, voire les licenciements.